Elena Belokourova, membre du comité de direction du Forum de
la société civile UE-Russie et directrice de l’Echange russo-allemand de
Saint-Pétersbourg ; Iouri Djibladze, président du Centre pour le
développement de la démocratie et des droits de l’Homme; Andreï Kalikh,
journaliste russe indépendant, activiste anti-corruption, coordinateur du groupe
de travail d’experts du FSC consacré à la “Lutte contre la corruption
transfrontalière”; Konstantin Troïtski, analyste au sein du Comité d’assistance
civique et Natalia Ioudina, analyste principale, SOVA (Centre pour
l’information et l’analyse).
Dans ce contexte, la récente mise sous scellé du bureau d'Amnesty International à Moscou a provoqué de nombreux questionnements. Fidèle à sa vocation de promouvoir et de faire respecter les droits de
l’Homme dans le monde entier, l'ONG appelle les autorités
russes à réviser la loi relative à la lutte contre l’extrémisme à la lumière
des normes internationales et à prendre toutes les mesures nécessaires pour que
la loi relative aux « agents de l’étrangers » soi abrogée et que les
ONG en Russie soient en mesure de faire leur travail sans entrave, harcèlement,
stigmatisation ni représailles.
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